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L’archidiocèse de Paris est archidiocèse métropolitain de l’Église catholique en France. Depuis 2005, l’archevêque métropolitain de Paris est le cardinal André Vingt-Trois.

Diocèse de Paris.
3 Rue Lagrange - 75001 Paris
+33 1 43 54 51 80
http://www.paris.catholique.fr/

Cathédrale Notre-Dame de Paris.
http://www.notredamedeparis.fr/

Collège des Bernardins.
Le Collège des Bernardins est un lieu de recherche et de débat pour l’Église et la société, ouvert à tous ceux qui, chrétiens ou non, s’interrogent sur le sens de la vie et le devenir de l’homme. Pour cela, le collège des Bernardins veut donner à l’homme les moyens d’être responsable de son avenir, face aux enjeux d’aujourd’hui.
20 rue de Poissy - 75005 Paris
+33 1 53 10 74 44
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Portail de la Liturgie Catholique.
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Diocèses en France.
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Aumônerie des français à l’étranger
Service de la Conférence des évêques de France qui coordonne les paroisses, aumôneries, églises catholiques de langue française à l’étranger.
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KTO, la télévision catholique.
Créée en 1999, à l’initiative du cardinal Lustiger, KTO est depuis 2009 une chaîne associative. Elle entretient des liens de fidelité avec l’Église catholique, et en particulier la Conférence des évêques de France. KTO a été fondée afin de donner à l’Église les moyens d’annoncer le message de l’Évangile par tous les médias modernes, c’est-à-dire la télévision, Internet, et aujourd’hui les téléphones mobiles, tablettes, TV connectée... KTO s’adresse non seulement aux catholiques, mais à tous les « chercheurs de sens », croyants ou non.
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Paris Notre-Dame, l’hebdomadaire de l’Église en mission à Paris.
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Radio Notre-Dame, FM100.7
La radio qui ose porter un regard chrétien sur le monde ! Informer, partager, prier, enseigner et réfléchir.
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La Conférence des évêques de France – ou Conférence épiscopale – est constituée de l’ensemble des cardinaux et évêques en activité exerçant leur charge pastorale en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer (D. O. M.), ainsi que des cardinaux français en retraite résidant en France.

Font également partie de la Conférence épiscopale l’évêque placé à la tête de l’éparchie (diocèse) des Arméniens en France, l’exarque des Ukrainiens en France, les vicaires apostoliques et préfets apostoliques des départements d’outre-mer (D. O. M.) et les administrateurs apostoliques et administrateurs diocésains (dans les diocèses momentanément dépourvus d’évêques) exerçant leur charge en France.

La Conférence des évêques de France compte environ 120 membres.

Services nationaux de la Conférence des évêques de France

Les services nationaux, instances permanentes, ont pour mission de soutenir le travail des structures épiscopales et la vie des diocèses, par leur apport en expertise, réflexion, formation et animation. La plupart de ces services sont installés dans la Maison de la Conférence des évêques de France.
http://www.eglise.catholique.fr/con...

Historique.
En 1965, le décret du concile Vatican II sur la charge des Evêques officialisa les conférences épiscopales, insistant même sur leur importance et traçant leurs caractères essentiels :

Une conférence épiscopale est en quelque sorte une assemblée dans laquelle les prélats d’une nation ou d’un territoire exercent conjointement leur charge pastorale en vue de promouvoir davantage le bien que l’Eglise offre aux hommes, en particulier par des formes et des méthodes d’apostolat convenablement adaptées au circonstances présentes.

Le code de droit canonique de 1983 précise les modalités de fonctionnement des conférences dans l’esprit de Vatican II. Le 27 juillet 1998, par le motu proprio « Apostolos suos », il en définit la nature théologique et juridique en leur précisant leur place spécifique dans la collégialité, une place de coordination qui ne peut se substituer à la responsabilité de l’évêque dans la Communion de l’Eglise.

Depuis les Accords de Latran signé en 1929 sous le gouvernement de Mussolini et le pontificat de Pie XI, le pape, successeur de saint Pierre, est à la tête du Saint-Siège.L’expression "Saint-Siège" fait référence au siège de l’apôtre Pierre, considéré comme le premier chef de l’ Eglise romaine. Tous les papes sont évêques de Rome et par conséquent successeur de Pierre. Le Saint-Siège gère l’administration centrale du Vatican avec la Curie Romaine et son service diplomatique. Les ambassadeurs sont accrédités auprès du Saint-Siège et non du Vatican.

« Remercions Dieu qui est toujours présent, proche et miséricordieux. » (Pape François)

En 1929, Benito Mussolini et Pie Xi -par l’entremise du cardinal Pietro Gasparri- signent les accords du Latran. Dans ce traité, le Saint-Siège reconnaît le royaume d’Italie avec Rome pour capitale et le gouvernement italien reconnaît la souveraineté du Saint-Siège sur le nouvel état de la Cité du Vatican. La Cité du Vatican en tant que petit état souverain de 44 hectares (un millier d’habitants) garantit à la papauté son indépendance vis à vis des autres gouvernements. Quand il voyage à l’étranger, le pape a un statut de chef d’état. Le Vatican rassemble sur son territoire l’ensemble des institutions de l’Église catholique.

Site officiel du Saint-Siège
[-Visiter le site>http://w2.vatican.va/content/vatican/fr.html]

Sites internet du Vatican
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Site de l’Etat de la Cité du Vatican
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AELF, le site officiel de la traduction française de la liturgie.

Vous trouverez sur ce site la traduction française de la Bible utilisée par l’Église catholique pour la messe, les sacrements et la liturgie des heures, ainsi que le calendrier liturgique.

La liturgie vient de deux mots grecs. Le premier signifie peuple et le second action. La liturgie est une action du peuple. Il s’agit aussi de l’action de Dieu "pour" le Peuple. Et enfin une action de Dieu et du Peuple réunis au service du Salut du monde. La liturgie existe pour la gloire de Dieu et le Salut du monde.

Le groupe ACAT 17° n’est pas un groupe paroissial car dès sa création en 1973 par deux protestantes, l’ACAT, mouvement œcuménique, compte parmi ses adhérents des catholiques, des protestants et des orthodoxes. Le groupe ACAT 17° est ainsi constitué de chrétiens de différentes confessions habitant le quartier.

Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. (art.5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.)

« Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». (Matthieu 25,40)

ACAT 17 a pour objet d’informer et sensibiliser le plus grand nombre à partir de situations concrètes en relayant les propositions du secrétariat national.

L’équipe...

L’équipe compte une vingtaine de personnes (dont 3 paroissiens de St François de Sales).

Les réunions...

Les réunions ont lieu 1 fois par mois dans les locaux du temple des Batignolles, le vendredi de 18h à 19h30 ou le samedi de 16h30 à 18h30. Une prière préparée par l’un ou l’autre démarre la réunion.

Les actions...

Les actions sont individuelles et/ou collectives...

• Au cours de l’année, chaque adhérent reçoit du National des mails d’appel à mobilisation concernant un cas de mauvais traitements. L’ACAT fournit un modèle de lettre exigeant l’arrêt des sévices, demandant une libération, dénonçant un procès inéquitable. Chacun est invité à personnaliser ce modèle de lettre et à l’adresser aux autorités précisées par l’ACAT.
• Les actions collectives consistent en parrainages : Notre groupe parraine ainsi un prisonnier au Texas depuis près de vingt-cinq ans. Il est resté très longtemps dans les couloirs de la mort et il y a deux ou trois ans sa peine a été commuée en perpétuité. En plus de la lettre assez détaillée que lui envoie toujours la même personne, chaque semaine il reçoit une carte postale de l’un ou l’autre membre du groupe. Au fil des ans de vrais liens se sont ainsi tissés. Nous avons également un parrainage avec Mgr Su Zhi Min, évêque de Baoding en Chine, actuellement détenu dans un lieu secret. Chaque mois, nous envoyons aux autorités qui le détiennent une carte à son intention.
• Autre type d’action : les appels du mois. Chaque mois l’ACAT diffuse un appel : « Agissons ensemble pour un monde digne ». L’objectif est que ces appels soient entendus par le plus grand nombre, qu’ils soient signés et adressés aux autorités indiquées. Ces appels du mois sont disponibles à St-François de Sales sur les présentoirs des 2 églises et annoncés dans la feuille paroissiale hebdomadaire.

Association française de coopération internationale, ADESDIDA participe au développement de la région des Savanes au nord du Togo grâce aux partenariats qu’elle entretient tout au long de l’année avec les acteurs de terrain. Elle est créée en 1972 par les amis de Mgr Barthélémy HANRION (OFM), premier évêque de Dapaong, qui ne pouvait concevoir sa mission d’évangélisation sans mettre « l’Homme debout ». L’eau, l’éducation, la santé et la vie en société sont les quatre piliers d’un développement durable.

« Semer l’avenir. »

Focus...

Invitation au concert au profit de l’association ADESDIDA pour ses œuvres en faveur du développement

• jeudi 19 octobre 20h - salle Cortot 78 rue Cardinet 75017
  Récital de piano à la Salle Cortot par notre ami Étienne Chenevier ; il offre ce concert à l’association ADESDIDA . Cliquez LA pour prendre votre billet. (Caisse sur place dès 19h30).

ADESDIDA...

Depuis sa création l’ADESDIDA apporte au Centre de formation rural de Tami (village proche de la frontière du Ghana à 20 km de Dapaong) son budget de fonctionnement. Ce Centre, dirigé par des Frères des Ecoles chrétiennes, accueille chaque année une quinzaine de jeunes couples avec enfants. L’objectif est d’améliorer les conditions de vie de la famille en formant à la culture attelée, au maraîchage, au calcul, à l’hygiène, à l’amélioration des repas, à l’éveil et au suivi des enfants,…

Chaque année l’ADESDIDA soutient d’autres activités, selon le montant des fonds récoltés auprès de donateurs privés, d’institutions, d’entreprises et de fondations, qui reçoivent un reçu fiscal. Les projets soumis proviennent la plupart du temps de l’OCDI diocésaine (Caritas) avec qui le Bureau de l’association entretient des liens privilégiés. Cette organisation locale est garante de la bonne exécution et du suivi sur place des projets ; ce qui n’empêche pas des délégations du Conseil d’administration d’aller sur place en mission (à leurs frais !) pour entretenir des relations de confiance et de partenariat.

En dehors des aides à Tami on peut citer des soutiens réguliers au dispensaire/centre de PMI et de renutrition de Nadjundi, à la Bibliothèque-foyer des jeunes du quartier de Nassablé à Dapaong (entièrement rénovée en 2010 par une équipe de jeunes de Stanislas, encadrés par l’association), au Centre d’autopromotion féminine de Dapaong, au Centre d’animation rurale d’OGARO pour l’équipement de leurs stagiaires, à l’ONG FAR pour son action d’alphabétisation des adultes en langue Moba et la création d’activités génératrices de revenus, aux AFPHY de Dapaong, associations qui regroupent plus de 80 femmes collectant et traitant les ordures d’abonnés de six quartiers de la ville, aux projets d’équipes paroissiales œuvrant pour le développement de leur communauté (équipement de villages en moulins ou en pompes, forage de puits, plantation d’arbres, équipement de groupes sportifs ou culturels, achat de tables-bancs et d’ouvrages scolaires pour des EDIL (école d’initiative locale) et des collèges,…).

La Paroisse de Bombouaka, jumelée depuis 30 ans avec la paroisse St François de Sales est l’une des 17 paroisses du diocèse de Dapaong ; elle bénéficie de contacts privilégiés avec les paroissiens du groupe Foi & Développement de Saint François de Sales qui lui apporte chaque année, dans un esprit de partage évangélique, son soutien spirituel et financier.

La recherche de fonds de l’ADESDIDA passe par des actions de communication et de sensibilisation aux questions du développement. En direction des jeunes un partenariat privilégié et fidèle s’est installé avec Collège Stanislas de Paris, et d’étudiants de l’Institut Polytechnique de Beauvais. Des voyages, individuels ou collectifs, sont régulièrement organisés. Une “Lettre aux Amis” biannuelle permet de rendre compte de l’utilisation des fonds collectés et des actions entreprises par l’association.

Le groupe AJC de Paris-Ouest organise chaque année huit à dix conférences sur des sujets concernant le judaïsme et les relations judéo-chrétiennes.

Parmi les intervenants venus récemment, citons les rabbins Rivon Krygier, Pauline Bebe et Philippe Haddad, le père Thierry Vernet, Mmes Isabelle Davion, Pauline Davance, Maud Blanc-Haymovici, Mireille Hadas-Lebel, MM. Carol Iancu, Raymond Melka, Richard Prasquier, Avinoam Safran, Michaël de Saint-Chéron.

Les conférences ont lieu en général le jeudi à 18h15 au Centre Jouffroy, 70 Rue Jouffroy d’Abbans, 75017 PARIS.

La présidente du groupe est Mme Maud BLANC-HAYMOVICI, assistée de deux vice-présidents, MM. Raymond MELKA et François van DETH.

Téléchargez ci-contre l’agenda des conférences de l’AJC.

Plus d’informations ICI sur le site du groupe AJC de Paris-Ouest.

Ensemble2générations, association chrétienne de solidarité, donne vie à la vieillesse et sens à la jeunesse. Sa vocation est de faciliter l’accès au logement des étudiants, de rompre la solitude des personnes âgées via la cohabitation intergénérationnelle et de permettre ainsi un enrichissement mutuellement bénéfique.

Créée en 2006, l’association ensemble2générations a pour objectif de promouvoir le logement intergénérationnel en mettant en relation les jeunes (âgés de 18 à 30 ans, étudiants pour la plupart) et les seniors (à partir de 60 ans, vivant seuls ou en couple, et disposant d’une chambre libre).

Elle est présente en Ile de France et dans plusieurs villes de province, et compte déjà 2400 binômes à son actif. Sa mission est de favoriser le logement gratuit ou à coût modéré pour les étudiants, et rompre la solitude des seniors en leur offrant de vivre ensemble autour de services mutuels.

Elle apporte une solution adaptée et sécurisante, avec 3 possibilités :

• Logement gratuit en échange d’une présence très régulière le soir à partir de l’heure du dîner et la nuit.
• Logement économique : l’étudiant participe financièrement aux charges tout en assurant une présence régulière et en rendant quelques services : courses, promenades, initiation à Internet…
• Logement solidaire : l’étudiant verse un loyer au senior tout en assurant une présence légère mais conviviale ; le jeune peut alors bénéficier de l’allocation logement.

L’association organise une visite au domicile du senior, définit avec lui la formule adaptée, reçoit l’étudiant en entretien particulier, encadre la cohabitation par une convention et assure un suivi régulier tout au long de l’année.

Fondée en 1856 par des laïcs, professeurs en Sorbonne, l’Œuvre d’Orient est la seule association française entièrement consacrée à l’aide aux chrétiens d’Orient. Œuvre d’Église, elle est placée sous la protection de l’Archevêque de Paris. Grâce à ses 70 000 donateurs, elle soutient l’action des évêques et des prêtres d’une douzaine d’Églises orientales catholiques et de plus de 60 congrégations religieuses qui interviennent auprès de tous, sans considération d’appartenance religieuse.

L’Œuvre se concentre sur 3 missions — éducation, soins et aide sociale, action pastorale — dans 23 pays, notamment au Moyen-Orient. Son action s’inscrit dans la durée mais son organisation et ses contacts sur le terrain lui permettent une très grande réactivité en cas d’événements dramatiques.

Faire mieux connaître les chrétiens d’Orient, témoigner de leurs difficultés auprès de tous est également au cœur des missions de l’Oeuvre d’Orient. Son rôle est essentiel dans ces régions du monde où les chrétiens sont souvent considérés comme des « citoyens de seconde classe ».

Des racines historiques

En 1856, naît “l’Œuvre des Ecoles d’Orient”, association destinée à venir en aide aux enfants du Liban. Ses créateurs, regroupés autour du Baron Cauchy, célèbre mathématicien, sont tous des laïcs, professeurs en Sorbonne. Reconnue Œuvre d’Eglise en 1858 par le bienheureux Pape Pie IX, elle voit son champ d’action s’élargir rapidement et devient alors l’Œuvre d’Orient. L’abbé Lavigerie est son premier directeur. Son directeur actuel est Monseigneur Pascal Gollnisch, ancien curé de St François de Sales.

L’Œuvre des Ecoles d’Orient naît à l’époque où la France redevient une grande puissance. Par le Traité de Paris en 1856, qui met fin à la guerre de Crimée, elle est reconnue dans ses droits de protectrice des chrétiens de l’Empire ottoman. Au même moment, les pays arabes, influencés par les idées de la révolution française selon lesquelles il ne saurait y avoir de liberté sans instruction, remettent en cause l’autorité des turcs.

En 1860, le massacre des chrétiens par les Druzes soulève une émotion considérable en France. Lavigerie, dépêché sur place, recommande d’ouvrir hôpitaux et dispensaires, remercie Abd El-Kader d’avoir protégé les chrétiens à Damas et y trouve sa vocation missionnaire. Tandis qu’en Orient se prépare la fin de l’Empire ottoman, les nationalismes exacerbés se retournent contre les chrétiens. Représentant 20% de la population en 1914, ceux-ci sont victimes de massacres et de pogroms dont certains sont occultés encore aujourd’hui.

La fin des Empires crée une situation nouvelle : le Proche-Orient est placé sous mandat, certaines revendications ethniques étant reconnues, comme celles par exemple des Charles LenormantLibanais, tandis que d’autres ne le sont pas comme celles des Assyro-chaldéens, malgré les promesses britanniques.

Une adaptation aux grandes évolutions

L’Œuvre d’Orient voit la fin des chrétiens de Turquie et s’ouvre à ceux d’Europe centrale et d’Inde. Après la 2nde Guerre mondiale, malgré les espoirs suscités par le baasisme, l’hémorragie des chrétiens continue, alors qu’un peu partout en Orient s’établissent des régimes dictatoriaux. Ces périodes changeantes ne sont en outre jamais favorables aux pauvres.

L’Œuvre soutient communautés et institutions qui, parfois avec une absence de moyens dramatique, continuent de servir, avec l’amour de Dieu, les populations, quelle que soit leur appartenance religieuse. Aujourd’hui, une évolution démocratique s’esquisse en certains endroits, tandis que des courants musulmans se radicalisent.
Souvent pris entre deux feux, les chrétiens ont l’espoir qu’au-delà d’un statut de protection, leur citoyenneté soit pleinement reconnue. L’Œuvre d’Orient est attentive à ces mouvements et continue d’exprimer la communion des chrétiens de France avec les chrétiens d’Orient.

L’Oeuvre d’Orient est dirigée par monseigneur Pascal Gollnisch, curé de saint François de Sales jusqu’à juin 2014.